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DRAGONFORCE (uk) - Mark Hudson et Frédéric Leclercq (Fév-2012)


Formé en 1999 à Londres par Herman Li, DRAGONFORCE a déjà quelques années au compteur et semble garder la même énergie qu’au tout début. Consacré par les médias du monde entier comme le groupe le plus rapide de Power Speed Metal de la planète et doté de techniciens hors pair qui font pâlir d’envie de nombreux combos, DRAGONFORCE est une valeur sûre qui sévit aux quatre coins du globe !
Après un quatrième album Ultra Beatdown plus que convainquant et un live Twilight Dementia époustouflant de puissance et de dextérité, on pouvait s’interroger sur l’avenir du gang suite au départ plus que surprenant de leur chanteur ZP Theart. Pas évident de remplacer un chanteur de cette pointure et beaucoup s’y sont cassés les dents. Le défi était de taille mais c’était sans compter sur la ténacité des dragons qui ont réussi à dénicher la perle rare en la personne de Mark Hudson. Totalement inconnu, le gus sévissait dans les clubs de la profonde Angleterre depuis quelques années. Mark s’avère être la très bonne surprise de ce nouvel album The Power Whitin qui confirme que les londoniens sont en pleine forme et prêts à dévorer tout ce qui passe à leur portée !
C’est avec une curiosité non dissimulée que Metal Impact s’est précipité à la rencontre de Mark Hudson et Frédéric Leclercq (le bassiste français du combo) afin d’en savoir un peu plus sur la genèse de The Power Whitin qui est le cinquième album de nos british.

Line-up
: Mark Hudson (chant), Herman Li (guitare), Sam Totman (guitare), Frederic Leclercq (basse), Vadim Pruzhanov (clavier), Dave Mackintosh (batterie)

Discographie : Valley Of The Damned (Album - 2003), Sonic Firestorm (Album - 2004), Inhuman Rampage (Album - 2006), Ultra Beatdown (Album - 2008), Twilight Dementia (2010), The Power Whitin (Album - 2012), Maximum Overload (Album - 2014)

M-I Interviews du groupe : Herman Li (Nov-2005), Mark Hudson et Frédéric Leclercq (Fév-2012), Herman Li, Sam Totman et Frédéric Leclercq (Juin-2014)



Metal-Impact. Bienvenue à Paris ! Mark, c’est la première fois que tu viens dans la capitale ?
Mark Hudson. Non, j’ai fait un concert à Panam avec DRAGONFORCE en décembre dernier. J’ai vécu un grand moment, c’était fantastique de rencontrer les fans français pour la première fois. J’ai pu chanter tous les classiques du groupe ainsi que des nouveaux morceaux, ça a été un grand moment d’autant plus que je suis tout nouveau dans le groupe alors je découvre tout. C’est une première à chaque fois.

MI. Tu peux nous dire d’où tu viens Mark ?
Mark. Je suis Anglais et je viens de la ville d’Oxford. J’ai commencé la musique vers l’âge de 16 ans ! J’ai au départ joué de la guitare puis je me suis aperçu que j’avais des possibilités en tant que chanteur. C’est comme ça que je me suis mis au chant ! J’ai joué avec un tas de groupes mais rien de professionnel, c’était surtout pour le fun. Ma première grande expérience c’est DRAGONFORCE. J’ai un surnom d’ailleurs : Mr Scream !!!

MI. Comment s’est passé ton recrutement au sein de DRAGONFORCE ?
Mark. Ca a pris pas mal de temps. Au départ je leur ai envoyé une vidéo que j’avais sur youtube, ils l’ont regardé et m’ont recontacté pour me dire de venir répéter avec eux pour voir ce que ça donnait. Ensuite, ils sont venus me voir en concert pour voir ce que je valais sur scène. C’était dans un petit club, les conditions n’étaient pas idéales mais ça leur a plus. Tout s’est fait par étape, ça a pris un certain temps avant que finalement ils me choisissent. Je pense qu’ils voulaient être sûrs que leur choix était le bon. J’ai eu droit à une batterie de test pour que ça colle à tous les niveaux : la voix est importante bien sûr, c’est essentiel mais ça ne suffit pas, il faut aussi être bon sur scène et il faut que sur le plan humain ça colle parfaitement.

MI. Fred, que s’est t-il passé avec ZP Theart, votre ancien chanteur ?
Frédéric Leclercq. On a passé dix ans ensemble, c’est déjà pas mal. Au fil du temps les choses évoluent et les gens changent, ils ont envie de faire d’autres activités et les avis divergent sur l’orientation musicale. Je crois qu’il n’avait plus envie de continuer avec nous, il voulait autre chose musicalement. C’est en fait une accumulation de petits tracas qui ont fait qu’au final il valait mieux se séparer. C’était beaucoup mieux de prendre cette décision dans l’intérêt de tous ! Il reste un ami, je l’ai d’ailleurs revu la semaine dernière et je peux te dire que tout va bien entre nous. Nous n’avons tout simplement pas évolué dans la même direction, ça arrive souvent dans un groupe au sein duquel il y a des personnalités fortes.

MI. Ça a été une grande surprise quand il a décidé de vous quitter ?
Frédéric. Quand c’est arrivé, je n’étais pas là pour des raisons personnelles et du coup je n’ai pas vraiment prêté attention à ce qui se passait réellement au sein du groupe. Je sais qu’il en a discuté avec les autres membres du gang et aussi avec le management et que cela a abouti à une décision commune, il n’y a aucune animosité entre nous. C’est arrivé comme ça, il voulait découvrir de nouveaux horizons. C’est son choix et il faut le respecter.

MI. Quels sont les qualités que vous recherchiez chez son remplaçant ?
Mark. C’est très compliqué. On cherchait quelqu’un qui puisse assurer sur scène, qui avait une voie qui corresponde à DRAGONFORCE et ce qui est aussi très important ; quelqu’un qui ait des qualités humaines. Qu’il soit facile à vivre car on passe beaucoup de temps ensemble et c’est donc primordial que tout se passe bien humainement.

MI. Est-ce que c’est facile de s’intégrer dans un groupe qui existe depuis pas mal d’années ?
Mark. Oula, non ! J’étais très nerveux et je le suis encore. Tu sais, je viens d’un groupe non professionnel et je ne suis pas du tout habitué à travailler avec un groupe aussi rodé que DRAGONFORCE. Le challenge est de taille, j’essaye de faire en sorte que l’on pense que ça fait dix ans que je suis dans le groupe, c’est beaucoup de travail pour arriver à leur niveau. J’essaye d’être aussi bon que le reste du groupe car je sais que sinon je ne serai pas accepté par les fans. Ça a été très difficile et j’ai du travailler énormément pour rattraper mon retard. J’ai appris comment se comporter dans un groupe de Metal et quelle attitude il faut avoir sur scène. Je n’ai pas leurs automatismes, j’ai seulement joué dans des clubs, j’ai donc du apprendre et m’adapter à des scènes nettement plus grandes !

MI. Est-ce que ça vous a perturbé de jouer avec un nouveau chanteur ?
Frédéric. Non, pas vraiment car nous sommes habitué aux uns et aux autres et chacun a un rôle bien déterminé en concert. Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’étrange depuis que Mark est au chant. Ce qui nous a fait plaisir, c’est qu’il a su prendre ses marques très rapidement et sans problème majeur. Il a tout de suite su comment communiquer avec la foule et s’est totalement imprégné de son rôle de chanteur, ça c’est fait naturellement. C’est un visage différent mais la qualité est au rendez-vous et c’est ce qui est primordial.

MI. Pour toi qu’a-t-il apporté au groupe ?
Frédéric. De la fraîcheur ! Surtout au niveau humain car c’est quelqu’un de très bien avec qui il est facile de travailler. Il passe beaucoup de temps avec nous avant et après les concerts pour discuter, c’est quelque chose qui n’existait pas avant. Sur nos deux dernières tournées mondiales on est resté plus de dix huit mois sur les routes et au final on était plus très proche les uns des autres. Chacun faisait ce qu’il avait à faire de son côté sans vraiment s’occuper des autres. Mark apporte du sang frais, une nouvelle énergie et ce côté là est très intéressant bien plus que les prouesses vocales. Il nous a permis de nous rapprocher.

MI. Est-ce que les titres étaient tous écris à son arrivé ?
Frédéric. Oui, à 90% la plupart des morceaux étaient écris à part « Give Me The Night » qu’on a pu travailler avec lui. Pour les autres titres, tout était déjà terminé en terme d’écriture. Il faut dire qu’on a commencé à travailler sur ce nouvel album en 2010. Bien sûr on a retravaillé avec lui les titres pour les adapter à sa voix, on a beaucoup jammé en studio et répété énormément tous ensemble pendant des mois ! Il fallait qu’il se sente à l’aise avec nous, qu’il s’intègre. Nous ne voulions pas qu’il y ait d’un côté les membres de DRAGONFORCE et de l’autre le nouveau chanteur.

MI. Comment s’est passé l’enregistrement pour toi Mark ?
Mark. Rien n’est facile dans la musique pour personne. J’ai dû énormément travailler avant de les rejoindre en studio. Je n’avais jamais enregistré d’une manière professionnelle auparavant. Artistiquement, c’était un énorme challenge d’autant plus que le niveau de DRAGONFORCE est très élevé. J’ai dû apprendre et maîtriser tous les nouveaux morceaux mais aussi les anciens pour me préparer aux concerts qui étaient prévus. J’avais dix ans à rattraper en quelques mois, c’était un défi pour moi de m’intégrer au mieux.

MI. Est-ce que tu connaissais les albums de DRAGONFORCE avant de les rejoindre ?
Mark. Non, pas tous les albums, je les avais vu en concert il y a cinq ou six ans. Je n’étais pas passionné par le combo, ce n’était pas mon groupe préféré pour être honnête ! Ce n’est pas le style de musique que j’écoute régulièrement. En fait je n’ai jamais été très branché par les groupes de Metal en général.

MI. Quel type de musique écoutais-tu alors ?
Mark. J’aime beaucoup la musique progressive et aussi le Metal Rock progressif. Je suis très fans de vieux groupe comme RUSH, YES ou encore GENESIS. Mais j’adore aussi DREAM THEATER ! J’étais assez éloigné du Metal plus traditionnel en fait avant d’être choisi par DRAGONFORCE.

MI. Est-ce que tu penses que cela pourrait apporter quelque chose de nouveau au groupe ?
Frédéric. Non ! [Rires] Oui bien sûr, je pense même que ça peut être très intéressant dans le futur. Pour l’instant, nous n’avons pas encore réellement travaillé l’écriture de nouveaux morceaux ensemble mais on espère que ça va être un plus. Toutes les influences sont bonnes à prendre. On verra comment les choses évoluent !
Pour l’instant on attend déjà les réactions concernant The Whitin Power et voir comment les titres vont être reçu sur scène. Je pense que nous débutons un nouveau chapitre de notre histoire.

MI. Les nouveaux morceaux sont beaucoup plus courts et aussi plus Rock que vos précédents opus, est-ce volontaire de votre part où est-ce une évolution naturelle ?
Frédéric. Oui, je pencherai pour la deuxième option. Ça s’est fait plutôt naturellement, nous n’avons pas fait une réunion en se disant : "bon maintenant on va faire des titres plus courts de quatre à cinq minutes pas plus". Sur la dernière tournée Japonaise on jouait un titre « Strike Of The Ninja » qui est un titre bonus que l’on ne trouve que sur la version japonaise de Ultra Beatdown. On a joué ce titre uniquement pour eux et ça a été très agréable de faire ce morceau qui est plus court que la majorité de nos titres et les réactions ont été très positives, alors on a voulu le jouer en permanence. Peut-être qu’inconsciemment tout est parti de là, on s’est rendu compte que les morceaux n’ont pas besoin de dépasser les 7 minutes pour être bons. Sur Ultra Beatdown on avait composé des titres très longs et très complexes mais on a réalisé que des morceaux plus simples et directs sont aussi efficaces. La réaction du public a été très bonne et ça c’est important. Sur The Power Of Whitin, le titre supplémentaire pour le marché Japonais est très court aussi et s’appelle « Power Of The Ninja Sword ».

MI. Et au niveau de la composition dirais-tu que c’est plus simple à écrire ?
Frédéric. Non, je ne pense pas ! Le processus n’a pas tellement changé par contre nous nous sommes plus investis au niveau de l’écriture d’une manière collégiale. J’ai travaillé beaucoup plus sur les morceaux, ça a été plus difficile. L’idée c’était qu’on voulait écrire ensemble car d’habitude nous rentrions en studio alors que les morceaux étaient finalisés. Cette fois, nous avons beaucoup répété dans notre home studio. J’avais envie de m’exprimer d’avantage afin de ne pas me lasser. On avait envie de passer plus de temps ensemble et aussi de beaucoup travailler avec Marc pour que son intégration se fasse plus facilement. Ce qui est sorti de cette méthode est très intéressant et je pense que nous allons poursuivre dans cette voie.

MI. Combien de temps vous a-t-il fallu pour achever cet album ?
Frédéric. En tout et pour tout, deux ans si on compte la recherche de notre nouveau chanteur. Ça a été très long, on a commencé à travailler sur The Power Whitin en 2010.

MI. Sur le jeu Guitar Hero III, on trouve le morceau « Through The Fire And Flames », penses-tu que cela vous a permis de conquérir de nouveaux fans ?
Frédéric. Oui bien sûr, on a touché un public qui n’était pas forcément intéressé par le Metal ou DRAGONFORCE. Ils ont eu de la chance, je pense que c’est le bon mot à utiliser, de découvrir le groupe. Au bout du compte pas mal de personnes nous ont découvert, certains sont restés, d’autres sont partis mais ça reste une expérience très positive.

MI. Sais-tu que pour les passionnés de ce jeu, votre morceau est un des plus compliqué à interpréter, c’est le niveau le plus difficile à atteindre !
Frédéric. [Rires] Oui mais je n’ai jamais essayé personnellement. C’est totalement différent de le jouer sur scène et de te déchainer avec une guitare en plastique devant ton écran.

MI. Il y a un morceau « Fury Of The Storm » sur Guitar Hero 6 : Warriors Of Rock ou vous alignez 3187 notes en un peu plus de six minutes ! Comment faite vous pour jouer aussi vite ?
Frédéric. [Rires] Oui mais ce n’est pas prémédité, quand on compose on ne se dit pas : "bon on va faire un morceau avec au moins 3000 notes !" [Rires] On ne tient pas une comptabilité du nombre de notes jouéES par morceaux ! [Rires] En fait, je n’en sais rien car je n’étais pas dans le groupe à l’époque et je n’ai pas participé à la réalisation de ce titre.
Combien tu disais ?
MI. 3187 Notes !
Frédéric. Whaow, ça fait beaucoup !

MI. Est-ce que ça vous a ouvert des portes aux Etats-Unis ou dans d’autres pays ?
Frédéric. Non je ne pense pas ! On était déjà un groupe important avant Guitar Hero et ça nous permettait de jouer dans beaucoup de pays. On a joué sur la scène principale du Hellfest, on a fait des concerts sold out aux USA, deux tournées sold out et tout ça bien avant notre participation au jeu ! Bien sûr ça nous a aidés mais ce n’est pas ça qui a fait qu’on a pu tourner dans le monde entier. Peut-être que certaines personnes pensent qu’on doit tout à ce jeu mais ce n’est pas la réalité.

MI. Vous avez participé au Mayhem Festival quel souvenir en gardes-tu ?
Frédéric. Excellent, c’est un festival itinérant qu’on a fait avec SLIPKNOT, MASTODON et MACHINE HEAD. C’était vraiment bien, on a fait la fête non-stop et il y avait de la drogue euh non en fait !!! [Rires] On buvait beaucoup. On s’est vraiment éclatés avec les mecs de SLIPKNOT qui commençaient à boire à quatre heures de l’après-midi et ne s’arrêtaient plus de la journée ! Du coup quand je suis rentré à la maison j’étais devenu alcoolique !!! [Rires]
Le principe était simple, tu faisais deux ou trois shows et tu avais un day off et là tu en profitais pour boire et tu finissais totalement ivre. On a passé beaucoup de temps à boire et faire la fête. On avait une règle : celui qui ne jouait pas devait préparer des grillades à tous les autres. Par exemple, je me souviens le mardi c’était MACHINE HEAD qui préparait le barbecue quelques jours après c’était MASTODON et ainsi de suite ! C’était comme une énorme fête continuelle !

MI. Cela confirme le fait que vous avez la réputation d’être des gros buveurs en tournée…
Mark. C’est le point important, je bois beaucoup ! [Rires] Quand je commence une tournée, je suis plutôt sage, j’essaye de prendre mes marques et après quand je suis bien rodé j’en profite un maximum. Je fais tout de même attention à ma voix, il faut qu’elle soit impeccable chaque soir.
Frédéric. [Rires] Hier soir je l’ai emmené rue de Lappe histoire de rencontrer quelques copines et on s’est envoyé quelques shots, après on a enchainé sur une émission de radio, on était en pleine forme je peux te l’assurer ! [Rires]

MI. Quels sont vos projets à court terme ?
Frédéric. Après la promotion à Paris on va faire un concert à Birmingham et ensuite on enchaine sur une tournée aux Etats-Unis. Puis on devrait faire quelques dates en Europe mais tout ça reste à confirmer. Et après on va faire une tournée en tête d’affiche en Europe on devrait débuter en octobre 2012. Tu vois, on a de quoi s’occuper pour un bon moment…

MI. Comment vous sentez-vous avant la sortie de l’album ?
Mark. J’ai hâte de voir la réaction des gens car pour l’instant personne ne me connais et je suis impatient de savoir si je vais être accepté par les fans. J’ai énormément travaillé, de longues heures, c’est important pour moi de voir l’accueil qui va m’être fait. J’espère que l’on va me donner ma chance.

MI. Tu as déjà rencontré des fans ?
Mark. Oui, après les concerts. J’ai pu discuter avec eux et j’ai été très bien accueilli. Ils ont été très sympas avec moi et je pense qu’ils m’ont accepté.

MI. Vous avez lancé la DRAGONFORCE TV il y a peu de temps, peux-tu m’expliquer en quoi cela consiste ?
Frédéric. [Rires] C’est juste des vidéos du groupe qu’on a mis sur internet. Mais ce n’est pas une vrai chaine de TV, c’est plutôt des reportages sur nous, comment on travaille en studio, des moments d’intimités, des extraits live. Tu peux la regarder sur notre site web, sur Facebook et sur tous les réseaux sociaux. Mais il n’y a rien de porno ! [Rires]

MI. Ah bon, je croyais que c’était comme la chaine TV Marc Dorcel !!! [Rires]
Frédéric. Oui ou John B.Root !!! [Rires] J’ai été à l’avant-première de son dernier film à l’Elysée Biarritz. Mais c’est long de voir un film X sur grand écran pendant 90 minutes. Heureusement il y avait du champagne après !!! [Rires]

MI. Merci pour l’interview…
Frédéric. Merci beaucoup.
Mark. Merci à toi


Ajouté :  Vendredi 04 Mai 2012
Intervieweur :  The Veteran Outlaw
Lien en relation:  Dragonforce Website
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