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DEMONS & WIZARDS (de-us) - Hansi Kürsch (Mai-2005)


Demons & Wizards est né de l’amitié entre Jon Schaffer, le guitariste d’Iced Earth, et Hansi Kürsch, le chanteur de Blind Guardian à la voix si particulière. 5 ans après leur premier album, le Démon et le Magicien nous reviennent avec un nouvel opus intitulé Touched by the Crimson King. Hansi nous en dit plus sur leur collaboration et sur les heurts et bonheurs qui ont donné naissance à cet album.

Line-up
: Hansi Kürsch (chant), Jon Schaffer (guitare)

Discographie : Demons & Wizards (2000), Touched by the Crimson King (2005)



Metal-Impact. Pour commencer, le line-up de Demons & Wizards a changé. Jim Morris est toujours à la guitare mais Marc Prator est parti…
Hansi Kürsch. Oui, enfin, le groupe, c’est juste Jon et moi. Donc le line-up du premier album n’était pas fait pour durer, on ne l’a jamais considéré comme fixe. Jim Morris, en tant que producteur, peut être considéré comme un 3ème membre du groupe car c’est aussi un excellent guitariste. Je suis sûr que nous ferons de nouveau appel à lui pour le prochain album dans cinq ans. Bobby Jarzombek, qui est à la batterie sur ce 2ème album est un batteur de Heavy Metal reconnu et il travaille tout le temps avec Jon, qui est très impressionné par son travail. Donc, Jon a suggéré de faire appel à lui plutôt que Marc Prator, qui est un batteur de studio de classe mondiale mais qui est plus un musicien de jazz que de Metal. Sur le 1er album, il a joué exactement ce que nous lui avions indiqué mais ni moi ni Jon ne sommes batteur. Nous préférions quelqu’un qui puisse vraiment être impliqué et Bobby l’a fait parfaitement. Le bassiste est un musicien de Fusion Rock Old School des années 70. Nous avions besoin de lui pour le côté mélodique, acoustique, mid-tempo. Tout le côté Speed Metal où la basse se contente de reprendre la guitare de Jon, Jon l’a fait lui-même.

MI. Pourquoi Jon a-t-il fait appel à un autre bassiste ? Et n’as-tu pas été tenté ?
Hansi. Parce qu’il n’est pas bassiste lui-même. C’est un bon guitariste et il s’en tire bien à la basse, cela ne fait aucun doute. Il peut tout faire très vite et dès qu’il prend sa guitare rythmique, il fait un travail merveilleux. Mais quand on en vient à un vrai jeu de basse, ce n’est pas la bonne personne et moi non plus. J’ai arrêté de jouer à la fin des années 90. J’aurais peut-être été capable de faire quelques petites choses pour les parties les plus rapides mais pas pour les vrais trucs à la Led Zeppelin. Cela ne peut être joué que par un vrai bassiste.

MI. Tu penses que ce line-up est stable ?
Hansi. Non. Je ne serais pas surpris, si nous faisons une tournée plus tard, que Bobby soit avec nous. Jim Morris ne viendra pas avec nous car il est trop engagé dans les activités de son studio, Morrisound. Quant au bassiste, il a près de 50 ans… [rires] Cela ferait un peu bizarre, même si c’est un type génial.

MI. Donc, D&W, ce sont 2 personnes et peu importe quels musiciens les accompagnent tant qu’ils sont bons ?
Hansi. Oui. C’est la seule condition : les meilleurs !

MI. Est-ce que tu sais comment ils vivent cette situation ?
Hansi. Oh, cela ne pose aucun problème. Ce sont des musiciens dont nous louons les services. Ils n’ont eu aucune influence sur la composition. C’est un travail pour eux, sauf Jim Morris, bien sûr. Lui fait vraiment partie du processus ; mais comme il est aussi producteur, l’approche est complètement différente.

MI. D’une certaine manière, vous combinez les qualités de vos deux groupes mais, mis à part ça, qu’est-ce qui fait votre originalité ?
Hansi. Je pense que nous avons plus établi cette originalité sur le dernier album que sur le 1er. C’est la capacité à composer des morceaux à la structure simple, avec une bonne dose de parties acoustiques, plus mélodieuses et différentes de ce que nous faisons dans nos groupes respectifs. Je trouve ce 2ème album plus lumineux. C’est là qu’est la différence, une ambiance beaucoup plus positive.

MI. Tu me parles d’ambiance. Comment décrirais-tu le son ?
Hansi. C’est très harmonique, lumineux, puissant ; cela passe par bien des chemins dans le vaste genre du Heavy Metal, sans sortir du cadre. Un groupe comme Blind Guardian est souvent hors frontières. Nous empruntons les chemins que nous voulons.

MI. Est-ce une façon pour toi d’être un peu plus un démon que dans Blind Guardian ?
Hansi. Je considère vraiment mon rôle comme celui du Magicien (Wizard). Pour être franc, je trouve que le 2ème album est tellement lumineux qu’il ne reste plus grand-chose du Demon, même pour Jon. C’est certainement suffisant pour lui mais il ne resterait plus de place pour un 2ème !

MI. Est-ce un moyen de montrer une autre facette de ta personnalité ?
Hansi. Non, je maltraite André comme je maltraite Jon. Ce sont des compositeurs naturels, qui écrivent de superbes arrangements et je me contente de mettre en forme. Quoi qu’ils fassent, je réagis dessus. Je pense que c’est ma compétence, quel que soit le cadre qu’ils me donnent, de lui donner une certaine vie. Mais cela dépend évidemment de ce qu’ils me donnent.

MI. Je trouve que tu as une faculté étonnante à adapter ta voix à la mélodie. Tu l’as travaillée différemment pour Demons & Wizards ?
Hansi. Non. Ce que je fais pour chaque album, c’est essayer de m’améliorer, progresser. Dès que j’ai terminé un album, je m’efforce d’analyser ce qui a mal tourné et ce qui était bon et de construire là-dessus. Surtout avec le 1er album de D&W, ainsi que sur A Night at the Opera. Je me suis rendu compte que certaines choses étaient très bonnes mais n’atteignaient pas le but fixé. Et c’est probablement ce qui m’a aidé pour ce nouvel album. Toutes les harmonies que j’avais faites pour A Night… étaient très bien mais elles étaient trop nombreuses. Quant à mon travail vocal sur D&W, il allait trop dans une seule direction. Il y a toujours une correspondance entre ce que je fais actuellement et ce que j’ai fait avant.

MI. Qu’est-ce que ça t’apporte, professionnellement et personnellement, d’avoir un autre groupe ?
Hansi. Personnellement, c’est la possibilité de travailler avec mon meilleur ami et d’être productif. Je veux juste travailler. J’adore la musique et tous les aspects de ce business.

MI. Vous appliquez la même philosophie qu’avec Blind Guardian ? L’album sort quant il est prêt, sans fixer d’échéances ?
Hansi. Non, c’est complètement différent. Le temps est pour nous un problème ; on a du mal à composer les morceaux. Il faut vraiment que nous soyons concentrés sur ce que nous faisons et tirer le meilleur d’un lapse de temps très court. Je trouve que c’est une bonne expérience. Je vais au studio et j’ai 10 jours pour enregistrer le chant, encore des arrangements à terminer, il faut que j’écrive les paroles, les backings vocaux et tout le toutim ! [rires] C’est un challenge mais cela ne veut pas dire que tu doives pour autant donner des choses plus faibles.

MI. Cela fait déjà 5 ans depuis le 1er album.
Hansi. C’est vrai, mais d’un autre côté, si je fais le bilan, je suis sûr d’avoir travaillé sur l’album 4 mois –et je ne pense pas que ce soit différent pour Jon. J’ai passé 10 jours de studio en Floride à faire les enregistrements, on a eu une semaine ensemble et un mois pour le mixage, plus un autre mois ici et là. On a pas eu beaucoup de temps en tout mais beaucoup de temps s’est écoulé entre chaque phase, ce qui nous a donné le temps d’y réfléchir. Dans Blind Guardian, je travaille constamment sur quelque chose.

MI. « My last Sunrise » a apparemment été très facile à écrire. C’est toujours comme ça ?
Hansi. Nous avons peut-être fait 3 ou 4 morceaux ensemble dans la même pièce, en face-à-face et elles sont venues à peu près aussi rapidement. Il y a eu d’autres titres, comme « Wicked Witch » qui ont été très faciles à composer pour Jon mais dont la structure des arrangements musicaux était si simple que j’étais forcé de trouver des idées extraordinaires. En tout cas, c’est comme ça que je l’ai ressenti. Cela n’est pas venu si facilement mais dans l’ensemble, je dirais que ça a été assez rapide, pour D&W comme pour la plupart des choses de Blind Guardian. Je pense que c’est beaucoup plus dur pour André parce qu’il jette beaucoup de choses, tout ce dont il n’est pas 100% satisfait. La façon dont il arrange les morceaux est complètement différente de ce que fait Jon. Jon, lui, travaille par sections et les répète.

MI. Ce n’est pas trop difficile de travailler ensemble avec la distance qui vous sépare ?
Hansi. Non, pas du tout, Le monde est petit. Se rendre visite n’est plus un gros problème et même, avec Internet, il n’y a plus de problèmes du tout !

MI. Vous avez sorti le 1er album en vinyles, vous comptez faire la même chose ?
Hansi. Oui, j’adore les vinyles ; j’écoute toujours mes vieux trucs dessus, les trucs des années 70. Et il y a toujours les fans de Hardcore qui sont demandeurs, ce que je comprends parfaitement. Il n’y a eu aucune discussion avec la maison de disque ; ils ont simplement accepté.

MI. Un retour aux racines ?
Hansi. Peut-être. De nos jours, ils préfèrent des vinyles imagés plutôt qu’à l’ancienne. Et je ne pense pas qu’il y aura beaucoup de gens pour l’écouter mais en tant que collector, je trouve l’idée géniale… Je suis peut-être le seul, remarque… [rires]

MI. Vous avez commencé cet album avec une approche différente ? Vous vous étiez fixé certains buts ?
Hansi. Oui, s’éloigner encore plus de l’identité des deux groupes auxquels nous appartenons. C’était dans mon esprit depuis le début. Je ne suis pas sûr de la perspective de Jon mais depuis que nous avons commencé la pré-production, tout le processus créatif est allé dans cette direction. Donc, je suppose qu’il ressentait la même chose.

MI. J’ai lu dans une interview la fois dernière que les répétitions étaient très détendues. C’était encore le cas cette fois-ci ?
Hansi. Je n’y étais pas ! [rires] On a écrit pendant environ deux semaines séparément, puis on a fait la pré-production, ce qui a été dur car nous ne disposions pas de beaucoup de temps, mais on n’a pas répété ensemble. Je n’avais pas assez de temps pour assister aux répétitions, j’étais trop pris par l’album de Blind Guardian. C’était difficile pour moi d’y passer les 14 jours et j’ai surtout passé mon temps à faire les parties vocales.

MI. Tu disais que c’était plus détendu qu’avec Blind Guardian. Tu sens moins de pression avec Demons & Wizards ?
Hansi. Plus maintenant [rires] Cela n’a définitivement pas été le cas. La production a été très intensive. C’était tout aussi sympa mais tout aussi exigeant qu’un album de Blind Guardian. Seulement, on avait encore moins de temps. On peut dire la même chose du mixage. C’était très concentré et direct.

MI. Quel titre va le plus surprendre à ton avis ?
Hansi. Je dirais « Beneath these Waves » et « Wicked Witch ». Il n’y a rien à quoi on puisse s’attendre de notre part dans ces deux morceaux. Je dirais aussi la partie Doom de « Dorian » mais jusqu’à présent, la plupart des gens semble avoir réagi très positivement à ce titre. Cela m’a beaucoup surpris.

MI. Vous avez fait une deuxième version de ces 2 premiers titres.
Hansi. C’est vrai mais « Beneath these Waves » n’est qu’un edit. Il n’y a rien de différent. Il y a deux sections, la principale étant Heavy et l’autre plus acoustique. C’est tout ce que nous avons ajouté. On a pensé en faire une vidéo mais nous avons changé d’avis par la suite. La version lente de « Wicked Witch » était un accident. J’ai décidé de lui porter une attention particulière. Comme je le disais, l’arrangement de base de guitare acoustique avait une structure vraiment simple. Cela méritait quelque chose, je ne savais pas quoi, je savais juste que cela prendrait du temps. Donc, j’ai pris ce titre avec moi en Allemagne après les enregistrements et j’ai travaillé dessus à la maison. Jim m’a fourni les fichiers informatiques pour mon ordinateur. Mais je n’ai pas prêté attention au format. J’étais un peu perturbé parce que cela me semblait très lent. En fait, j’ai travaillé en 16 bits des fichiers de 24 bits, la vitesse était donc réduite de beaucoup. J’y ai passé beaucoup de temps et je trouve qu’il aurait été dommage de ne pas l’utiliser ; elle est même meilleure que la version rapide. La version rapide est bien, elle est… rapide [rires]. Mais la version lente est tellement triste… j’adore ça ! Bien sûr, les guitares n’ont pas une bonne sonorité mais il fallait au moins l’utiliser en bonus sur le digipack.

MI. Un heureux accident en somme !
Hansi. Heureux pour moi, tout au moins. Certains journalistes allemands ont eu de la chance et ont reçu la version digipack…

MI. Oh, je me sens frustrée maintenant !
Hansi. Très peu l’ont eu. Il est vraiment bien. Nous nous sommes beaucoup investi dans cet album. Un des journaliste m’a dit que la version lente était bien meilleure que l’autre.

MI. Quel titre représente le mieux l’album selon toi ?
Hansi. Waw, c’est très dur ! Si je devais recommander un titre, je dirais très certainement « Crimson King » mais elle ne représente pas l’album ; il est trop varié.

MI. C’est pour cela qu’elle a donné son titre à l’album ?
Hansi. Je dirais que c’est plus parce que, dans le classement que nous pourrions faire Jon et moi, elle serait sûrement n°1. Ce n’est pas ma favorite mais elle en fait partie, pareil pour Jon. Nous avons donc pensé que cela ferait un bon titre pour l’album.

MI. Vous avez encore fait une reprise, cette fois-ci de Led Zeppelin. Pourquoi une reprise sur chaque album ?
Hansi. Comme pour le 1er album, c’était sensé être une bonus track mais nous avons été tellement impressionnés par le résultat que nous avons pensé qu’elle devait figurer sur l’album. A la place, nous avons pris pour le digi deux titres composés pour Touched by the Crimson King. La continuité de l’album était bien mieux complétée par « The Immigrant Song ». C’était une décision difficile car nous ne trouvions pas de morceau que nous aimions tous les deux et Jon n’aime pas beaucoup Led Zep. Moi, je les aime beaucoup. C’est la seule chanson qui nous plaisait vraiment à tous les deux. Une fois encore, le temps jouait contre nous. Nous étions sûrs de pouvoir le faire en peu de temps. En effet, nous avons fait tous les arrangements musicaux en 4 heures et j’ai réalisé le chant en à peu près 2 heures.

MI. Oui, c’est une très bonne reprise. Je pense que, si l’on ne connaît pas le titre d’origine, on ne se rend pas compte que c’est une reprise.
Hansi. Tu sais ce qui est arrivé en Allemagne ? Il y a un journaliste qui m’a dit l’avoir fait écouter à ses partenaires. Il y avait des jeunes qui ne la connaissaient pas et ils ont dit « oh, ils essaient de faire New Metal ! ».

MI. C’est vraiment une réussite, vous devez être fiers ?
Hansi. Oui, définitivement !

MI. L’album a un rapport avec la Tour Sombre de Stephen King ?
Hansi. C’est vrai pour 3 morceaux : « The Gunslinger », « Terror Train » et « Crimson King ». J’ai déjà utilisé cette histoire pour « Somewhere Far Beyond » sur l’album du même nom. Stephen King a écrit 7 livres pour cette histoire et il a publié les trois derniers dans les 16 derniers mois. J’étais vraiment très accroché à l’époque où nous composions l’album ; je lisais le 7ème tome. J’aime avoir une forte inspiration chaque fois que j’écris et c’était le cas. L’inspiration me vient de mes lectures dans 70% des cas.

MI. Grand fan de Tolkien devant l’éternel, donc ?
Hansi. Qui peut le nier !

MI. Tu as récemment participé au dernier album d’Angra, Temple of Shadows. Comment ça s’est passé ?
Hansi. On se connaît depuis… quoi ?... 10 ou 15 ans ! Je suis ami avec leur manager Antonio et j’ai de très bonnes relations avec tout le groupe. Dès que nous jouons au Brésil, ils viennent dire bonjour ; et j’ai bien sûr fait de même quand ils sont passés en Europe. Quand ils m’ont demandé si je voulais le faire, j’ai simplement dit oui. Ils m’ont envoyé des fichiers et j’ai été capable de les ouvrir dans le bon format [rires] Ils m’ont donné des instructions sur ce que devait être ma prestation vocale, m’ont fourni les paroles. C’était facile. J’y ai vraiment pris beaucoup de plaisir. Il arrive parfois, quand tu fais ce genre de choses et que tu ne prends pas part au mixage, le producteur a tendance à mal te traiter pour que l’autre chanteur brille. Mais cela a été très bien fait dans ce cas particulier. Par moment, je n’arrive pas à distinguer qui chante ! Honnêtement, j’étais impressionné. Je ne sais pas ; il chante comme moi ou moi comme lui. C’était très bon, ce qui n’est habituellement pas le cas. Si c’est le producteur qui avait la décision finale, je lui suis très reconnaissant.

MI. Pour conclure, vous avez des dates programmées ?
Hansi. Non, pas jusqu’à présent. Jon est toujours en convalescence. Il n’est pas rétabli mais au moins, il ne souffre plus. Je suis sur le point de commencer la prochaine production de Blind Guardian. Je n’aurai donc pas de temps dans les deux prochains mois. A la fin de l’année, nous trouverons peut-être le temps de faire quelques showcases. Mais si c’est le cas, nous ferons les Etats-Unis en premier. Ce qui signifie que les chances pour l’Europe sont assez réduites.

MI. Un dernier mot pour vos fans français…
Hansi. Merci pour votre soutien. Je suis vraiment époustouflé que tant de fans, que ce soient des fans de Blind Guardian, Iced Earth ou autres, soient derrière Demons & Wizards.


Ajouté :  Vendredi 13 Mai 2005
Intervieweur :  Kandra
Lien en relation:  Demons & Wizards Website
Hits: 45536
  
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