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THE AMENTA (au) - Chlordane (Fév-2005)


THE AMENTA s'apprête à sortir son deuxième disque, nous avons voulus en savoir plus sur ce groupe assez expérimental venu du pays de la Foster. Rencontre avec le claviériste Chlordane qui ne mâche pas ses mots...

Line-up
: Ethion (guitare), Chlordane (claviers, Samples et FX), Cesium 137 (chant), Diazinon (batterie), Endrin (basse)

Dicographie : Mictlan (MCD - 2002), Occasus (Album - 2004)



Metal-Impact. Peux-tu nous faire une petite présentation du groupe de manière anecdotique ?
Chlordane. Nous avons fondé THE AMENTA en 2000 après avoir abandonné nos différents projets. Nous étions frustrés par le manque de renouvellement dans le monde du Metal. Nous avons décidé de créer une musique novatrice et plus excitante que toujours cette vieux tas de merde fatigué. En 2002 nous avons sorti notre premier MCD intitulé "Mictlan", qui a obtenu de nombreuses critiques élogieuses du monde entier ce qui a débouché à un contrat avec Listenable Records. En 2004, Listenable sort notre premier album complet "Occasus".

MI. Comment en êtes-vous arrivé à signer avec un label (Listenable) qui se trouve à l'autre bout de la planète à plus de 24 heures d'avion ?
Chlordane. Après la sortie de « Mictlan », nous l’avons envoyé à de nombreux magazines et web’zines, en Australie et à l’étranger. Un de ces web’zines, Chronicles of Chaos, ainsi que David Rocher, son critique, ont été si impressionnés par notre CD qu’ils ont refilé notre nom et notre CD à Laurent de Listenable. Laurent nous a aussitôt contacté et nous lui avons envoyé toute notre promo. Nous avons reçu des offres d’autres labels, mais celle de Listenable était la meilleure. Si nous avons décidé de signer avec un label européen plutôt qu’australien, c’est que la zone de distribution des labels européens est bien plus vaste. Jusqu’ici, Listenable a fait un boulot extraordinaire et nous en sommes très satisfaits.

MI. Votre album "Occasus" étant sorti fin juillet 2004, quel regard portez-vous dessus et êtes-vous satisfait des retours et du travail de Listenable ?
Chlordane. Je suis très content du résultat. Nous avons passé tellement de temps sur cet album pour qu’il touche à la perfection, que l’échec était inenvisageable. À mon avis, « Occasus » est un album fantastique dont la scène n’a pas encore mesuré toute la pertinence et l’importance. Nous avons bossé comme des malades pour que cet album soit innovant, original et extrême, alors je suis super fier du résultat. C’est un défi jeté à la figure de beaucoup d’autres groupes coupables à nos yeux de manque d’originalité et de couardise. Nous faisons la preuve qu’il est possible de s’affranchir du moule du Metal. Listenable a été fantastique. Ils nous ont vraiment encouragés, nous et « Occasus ». Je crois qu’ils ont été époustouflés par l’album quand ils l’ont entendu, et ils nous ont immédiatement fait de la publicité et organisé des critiques et des interviews partout.

MI. Vous attachez beaucoup d'importance à votre look et vos pochette, quelle est ta conception du "Metal way of life" ?
Chlordane. Bien sûr, notre apparence et nos pochettes sont importantes. La musique doit être une expérience. En tant que mode d’expression artistique, toutes ses facettes doivent tendre vers la création de cette expérience. Je ne connais rien de pire qu’acheter un album à la musique fantastique gâchée par une pochette ringarde montrant une espèce de Conan en train de massacrer un dragon. Ça me dégoûte. Il n’y a rien d’extrême ni de provocant là-dedans. Ce n’est qu’un énième ersatz de Donjon & Dragon. Nous ne voulions surtout pas tomber dans ce piège. Il était primordial pour nous que notre apparence et nos illustrations complètent notre musique. Notre musique est froide, austère et extrême, et je crois que nos illustrations et notre image la reflètent bien.
Quant au « mode de vie Metal », je n’ai pas la moindre idée de ce que ça signifie. Je ne crois pas qu’il existe un mode de vie typique que suivent tous les Metalleux, ou du moins il ne devrait pas en exister. Les gens doivent réfléchir par eux-mêmes, pas se laisser gouverner par ce que disent ou font leurs semblables. Tout ce que je peux te dire, c’est que le mode de vie de THE AMENTA est synonyme d’expérimentation, de libre pensée et de rejet de tous les dogmes.

MI. Quels sont les éventuels concepts et messages distillés à travers "Occasus" ?
Chlordane. Le concept derrière « Occasus » est que l’humanité a perdu sa faculté de réfléchir par elle-même. À cause de systèmes de contrôle dogmatiques, qu’ils soient religieux, philosophiques ou politiques, l’humanité a perdu toute trace de son intelligence innée. Les gens pensent tous conformément aux lignes de leur parti et refusent de sortir de leur zone de confort pour réfléchir par eux-mêmes. On sert leurs idées aux gens sur des plateaux d’argent, ce qui les rend paresseux. Personne n’essaie plus de faire preuve d’originalité, dans l’art comme dans la vie de tous les jours. Ça me dégoûte et THE AMENTA veut s’en distinguer. « Occasus » est un hymne à l’idéalisme. Très peu de gens ont la force de s’écarter des idées préconçues et de réfléchir par eux-mêmes. Nous, nous le pouvons et le faisons.

MI. Vos morceaux sont en quelque sorte un melting pot de plusieurs styles sous un fond de riffs Death et Black et le tout ambiancé par des claviers type Indus ou Electro, comment vois-tu votre musique ?
Chlordane. Nous la voyons simplement comme de la musique extrême. Évidemment, notre musique se compose de différents sons, mais ce n’est pas parce qu’ils figurent sur « Occasus » qu’on les retrouvera sur le prochain album. Le titre de musique extrême ne décrit pas vraiment la manière dont sonne notre musique, mais indique seulement qu’elle est extrême. Pour moi, une musique extrême doit poser un défi à l’auditeur, sans se contenter d’être rapide ou technique. Notre musique sous toutes ses formes posera toujours un défi à l’auditeur, aussi la seule étiquette que nous acceptons est celle de musique extrême.

MI. Pourquoi avoir fait un titre avec seulement des bruitages, que représente t-il et pour quoi lui avoir donné le nom de l'album "Occasus" ?
Chlordane. Ce morceau ne comprend pas uniquement des effets sonores. Les morceaux « Occasus » et « Senium » sont des expériences visant à créer de la musique à partir de sons non-musicaux. Les sons sources de ces morceaux incluent des bruits de moteur de voiture, d’ambiance, de radio, d’horloge, de couteau et de parasites électroniques. Le but était de mettre au défi la perception musicale de l’auditeur. Ces morceaux, bien qu’atmosphériques et insaisissables, sont la preuve que des bruits ordinaires peuvent créer des atmosphères intéressantes et divertissantes. Le morceau a été baptisé « Occasus » car ce mot signifie destruction. Sur ce morceau, la plupart des sons ont été « détruits » en les réenregistrant et en les noyant sous les effets jusqu’à les rendre méconnaissables.

MI. Qu'écoutes-tu le plus, du Metal ou de l'electro ?
Chlordane. J’écoute beaucoup de musiques différentes, comme tout le monde dans le groupe. Je ne m’intéresse pas tellement aux nouveautés Metal, parce qu’une grande partie de la production actuelle ne sort pas du moule. Il y a évidemment des exceptions à la règle, mais j’entends beaucoup trop de clones de At the Gates ou Darkthrone. La situation est terrible en ce moment. J’écoute pas mal de power électronique et de death atmosphérique ces temps-ci car cette scène me semble beaucoup plus fraîche. Ça me rappelle le temps où je commençais à m’intéresser au black Metal. On pouvait acheter un CD de Emperor et un autre de Mayhem et, alors que ce sont tous deux des groupes de black Metal, ils étaient radicalement différents. C’est toujours le cas avec le power électronique, où on a des groupes comme Whitehouse et Navicon Torture Technologies. Je trouve ça beaucoup plus intéressant que ce qui se passe dans le Metal ces jours-ci.

MI. Les claviers ont une place prépondérante dans votre musique, pourquoi ce choix et penses-tu réellement que ceux-ci ont une place dans les blast-beats ?
Chlordane. Bien sûr qu’ils y ont leur place. Aucune règle ne régit la musique extrême. Ceux qui prétendent le contraire sont ridicules. Les gens commettent l’erreur de classer les claviers comme des instruments gentillets. Ce n’est comme ça que j’en joue. Plutôt que de me concentrer sur des sons au rabais comme les sons préprogrammés, je crée mes propres sons avec des pédales et des filtres de distorsion. Mes sons de clavier sont souvent plus extrêmes que ceux de guitare. Mes parties se concentrent souvent davantage sur des rafales de son plutôt que sur des méandres néoclassiques. Les blast-beats et les claviers ne s’excluent pas mutuellement et tous ceux qui le prétendent ne sont que des crétins.

MI. Etant à cheval entre les USA et l'Europe, de quelle scène te sens-tu le plus proche ?
Chlordane. D’aucune. Les scènes ne m’intéressent pas le moins du monde. Je voudrais croire que THE AMENTA est assez intéressant pour plaire aux deux scènes et j’aime des groupes appartenant à ces deux scènes. Je n’éprouve aucun besoin de me lier à un autre groupe pour me sentir plus impliqué. Pour moi, la musique extrême est quelque chose de personnel et je n’ai pas besoin d’être constamment encouragé par d’autres personnes pour atteindre les buts que je me suis fixés.

MI. Que penses-tu de la "New Wave Of American Heavy Metal" ?
Chlordane. Je la préférais lorsqu’on appelait ça du death Metal suédois. Encore une fois, il y a de bons groupes dans ce mouvement, mais j’ai déjà entendu ce qu’ils jouent un million de fois. Les groupes de ce mouvement qui y ajoutent leur patte sont intéressants, mais la plupart se contentent de jouer un banal Metal mélodique. Je n’ai jamais cherché dans cette scène les perles qu’elle doit receler, car je n’ai ni l’argent ni la patience de ratisser des centaines de CD pour dénicher les trois qui en valent la peine.

MI. Quelle est ta vision de l'extrémisme, qui tiens d'ailleurs une part importante chez vous, et n'as tu pas peur des assimilations et autres dérives qu'il peut engendrer ?
Chlordane. L’extrémisme, selon ma définition, c’est à dire le fait de poser un défi à l’auditeur, ne sera jamais un défaut. C’est un ethos galvanisant la possibilité illimitée d’essor et de développement. Toutefois, si on considère extrémiste le simple fait de jouer vite et de manière très technique avec un chanteur au rabais, alors là oui, ça devient un défaut. Parce que ce groupe serait tout bonnement ennuyeux. Quant aux rapprochements, qui s’en soucie ? Plus ont torture et permute les sons, plus la scène sera intéressante, car ainsi tous les groupes ne sonneront plus comme des collages ternes.

MI. Quelle est ta formation musicale ?
Chlordane. La plupart des membres du groupe ont reçu une formation musicale. Nous avons tous joué dans d’autres groupes avant, appartenant à tous les genres de la musique extrême. Certains d’entre nous ont fait des études et nous maîtrisons tous plus ou moins plusieurs instruments. Cependant, afin de composer pour THE AMENTA, j’ai dû oublier une partie de ma formation car notre musique n’a rien de conventionnel. Je me suis très vite rendu compte qu’il était très restrictif de composer tout en tenant compte des harmonies. La majorité des parties que je joue doivent sonner comme des cauchemars harmoniques, mais elles collent parfaitement au contexte de notre musique.

MI. Selon toi, les triggs sont-ils nécessaires dans le Metal ?
Chlordane. Ils ne sont absolument pas nécessaires. Tout dépend du son que l’on veut obtenir. Ils sont nécessaires pour THE AMENTA car c’était le son que nous entendions dans nos têtes avant même d’avoir fini de composer les morceaux. Nous voulions un son froid et austère, voilà pourquoi la batterie devait elle aussi sonner de manière très austère. Mais je ne crois pas que tous les groupes en aient besoin. Je dois cependant ajouter que je ne supporte pas ces snobs de la batterie qui affirment que les triggers sont de la triche. C’est comme si je disais qu’un clavier triche parce qu’il utilise un synthé plutôt qu’un piano acoustique. Réveillez-vous, bande de nases ! Il faut toujours appuyer sur les touches pour déclencher le son. C’est exactement pareil dans le cas de la batterie. Mais c’est typique de la scène Metal d’avoir peur des nouveautés.

MI. Quelle est pour vous la meilleure chose, composer, enregistrer ou faire des concerts ?
Chlordane. En ce qui me concerne, je dirais composer. J’adore relever le défi que représente le fait de construire une chanson. De plus, le fait de composer dans THE AMENTA laisse tant de place à l’expérimentation qu’on développe sans cesse de nouveaux sons. L’enregistrement reste amusant une semaine, mais au bout de cinq mois ininterrompus, ça devient un peu lassant. Jouer sur scène, c’est super, mais c’est un plaisir extraverti. La joie de composer, c’est que toutes les victoires sont des victoires personnelles. Sur scène, l’important est de se faire bien voir du public et de le faire bouger. Ça amoindrit un peu le sentiment d’accomplissement. Il n’y a pas de sentiment plus jouissif que de cracker le code d’une chanson, de découvrir ce qui fait son intérêt ou le facteur manquant. À mes yeux, il n’y a rien de meilleur.

MI. J'ai entendu dire qu'il était difficile d'émerger ou tout simplement de faire du Metal en Australie, qu'en est-il réellement ?
Chlordane. Totalement vrai. L’Australie est un cauchemar géographique pour tous ceux qui tentent de s’exprimer à travers l’art. Non seulement nous sommes isolés du reste du monde, mais le pays est structuré de telle manière que nos grandes villes sont séparées les unes des autres par des milliers de kilomètres de désert. Du coup, il est difficile de tourner et rencontrer d’autres groupes. Nos scènes sont aussi si réduites qu’il est très difficile de trouver les membres adéquats. Tous les bons font déjà partie d’un groupe. Ce n’est qu’à force de persévérance que nous avons pu monter notre groupe tel qu’il est aujourd’hui.

MI. Allez vous passez par la France ou l'Europe pour distiller votre rage sur scène ?
Chlordane. Et comment ! Notre but a toujours été de venir tourner en Europe et nous viendrons évidemment en France. Ce n’est qu’une question de temps. Pour l’instant, nous affinons notre jeu de scène et je vous garantis que ça va vous souffler. Nous travaillons sur des samples et des intros méchamment efficaces. Ça sera une expérience ultime.

MI. En Australie, quelle image (s'il y en à une) a la scène Metal française et son public ?
Chlordane. Je crois que la scène française est très bien vue ici. Même si je suis loin d’avoir une connaissance encyclopédique de votre scène, on ne peut pas ouvrir un magazine sans voir un article sur un groupe français comme Belphegor ou Anorexia Nervosa. Je sais que vous avez beaucoup de bons groupes et il faut absolument que je vienne les voir sur scène.

MI. Quelle est la question à laquelle tu en as marre de répondre et quelle est celle à laquelle tu aimerais répondre (avec les réponses s'il te plaît) ?
Chlordane. Je déteste qu’on me pose des questions sur d’autres groupes. Ça n’a rien à faire dans une interview de THE AMENTA et nous mettons un point d’honneur à ne jamais faire de commentaire sur d’autres groupes. Je ne vois pas comment mon avis sur tel ou tel groupe pourrait intéresser quelqu’un. Et il n’est pas question que je prenne la peine de citer le nom d’un groupe que je n’aime pas. J’ai déjà répondu à quelques questions de cette nature, mais je déteste ça et je les évite quand c’est possible.
En ce qui concerne la question que j’aimerais qu’on me pose, je pense que ça serait à propos du CD multimédia et des morceaux bonus contenus dans le fichier flash. Nous avons caché six morceaux dans la section multimédia et je crois que beaucoup ont du mal à les trouver. Je suis très fier de cette musique et j’aimerais qu’on me demande comment elle a été composée, pourquoi on l’a incluse de cette façon, etc. En réponse à mes propres questions, je dirais que cette musique constitue une extension de ce que nous avons expérimenté sur les morceaux « Senium » et « Occasus ». Ça va du morceau de musique concrète dans lequel on utilise un piano en tant qu’instrument de percussion jusqu’au morceau bruitiste sur lequel le chant d’un castrat se réverbère afin de provoquer un état de transe. Nous avons toujours souhaité en offrir davantage aux personnes qui achètent nos CD. Aujourd’hui, alors qu’il est très facile de télécharger de la musique, il est important de motiver les gens qui veulent encore acheter de la musique matérielle.

MI. Quels sont vos projets pour l'année en cours et que peut-on vous souhaiter ?
Chlordane. Nous venons de terminer le clip du morceau « Erebus », qui devrait bientôt être en téléchargement sur notre site. Il est vraiment fantastique et nous en sommes très satisfaits. Je sais que Listenable est du même avis et je suis sûr que ce sera le cas de tout le monde aussi. Nous venons juste de commencer à écrire pour le prochain album et ça sonne du tonnerre. C’est bien plus expérimental que « Occasus » car nous avons bien affiné nos techniques de composition. Timorés, passez votre chemin, ne vous attendez pas à un « Occasus 2 ».

MI. Pour conclure, si tu as un message à faire passer, je te laisse tribune libre...
Chlordane. Jetez un œil à notre site pour télécharger le mp3 de « Erebus » et le clip qui devrait bientôt sortir. Achetez « Occasus », ce sera l’album le plus révolutionnaire de votre discothèque, et préparez-vous pour notre prochain album qui va souffler tout le monde.


Ajouté :  Samedi 05 Mars 2005
Intervieweur :  Blasphy De Blasphèmar
Lien en relation:  The Amenta Website
Hits: 22240
  
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