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AMON AMARTH (se) - Johan Hegg (Août-2004)


Depuis leurs débuts en 1992 comme groupe « Underground » de la banlieue de Stockholm, Amon Amarth a bien grandi. Le groupe de Death Metal récolte aujourd’hui les fruits de son travail et de ses tournées incessantes en s’imposant comme l’un des groupes majeurs du genre. Nos Vikings préférés nous reviennent donc avec un tout nouvel album « Fate of Norns », qui sortira dans les bacs le 6 septembre 2004. A cette occasion, j’ai eu la chance d’interviewer leur très impressionnant mais non moins sympathique chanteur, Johan Hegg.

Line-up
: Johan Hegg (chant), Olli Mikkonen (guitare), Johan Söderberg (guitare), Ted Lundström (basse), Fredrik Andresson (batterie)

Dicographie : Sorrow Throughout the Nine Worlds (1996), Once Sent from the Golden Hall (1997), The Avenger (1999), The Crusher (2001), Versus the World (2002), Fate of Norns (6 septembre 2004)


Metal-Impact. On dit des Vikings qu’ils étaient très superstitieux, nous sommes vendredi 13, comment te sens-tu ?

Johan Hegg. Oh, je ne m’en étais même pas rendu compte avant que tu ne me le dises. Personnellement, je ne suis pas très superstitieux.

MI. « The Crusher » était votre album le plus brutal, « Versus the World » était plus lent et mélodique mais aussi plus Heavy. Comment décrirais-tu « Fate of Norns » ?

Johan. « Fate of Norns » est une suite assez logique sous bien des aspects mais ce n’était pas vraiment intentionnel. Nous avons ralenti un peu, il y a plus de morceaux mid-tempo. Nous avons beaucoup développé notre son. Nous y avons prêté une attention toute particulière pour obtenir le meilleur de son possible. C’est la principale amélioration. On a toujours eu des morceaux plus lents mais c’est vrai qu’ils tiennent une place plus importante dans cet album.
MI. Vous avez encore gravi un échelon ?
Johan. Je ne parlerais pas d’un nouvel échelon. Je dirais plutôt que nous avançons pas à pas pour nous améliorer en tant que musiciens. C’est peut-être pour cela que nous nous concentrons plus sur les mélodies plutôt qu’essayer d’être simplement rapides. On essaie d’utiliser plus d’harmonies, par exemple.

MI. Tu dis que vous avez plus travaillé les mélodies. Comment as-tu travaillé les paroles et ta voix ?

Johan. Tout d’abord, pour les paroles, j’ai essayé de les faire correspondre au maximum à la musique. J’ai travaillé en écoutant la musique, et en essayant de faire correspondre le rythme des paroles et leur contenu au rythme et à l’atmosphère de chaque morceau. Je pense avoir plutôt bien réussi. Pour ce qui est de la voix, étant donné que la musique était plus sombre et plus Heavy, je me suis adapté. Je pense avoir trouvé une gamme de tons plus large, du très profond et sombre à des sons plus élevés. Ma voix n’est peut-être plus aussi agressive mais je dirais presque maléfique ; pas de l’agression pure comme sur « The Crusher ».
MI. Plus d’émotion, peut-être ?
Johan. Oui, définitivement plus d’émotions, dans l’ensemble du processus créatif, d’ailleurs.

MI. « Versus the World » nous parlait de Ragnarök, la fin du monde selon les Vikings. Maintenant vous abordez la mythologie des Norns. Tu peux nous en dire un peu plus ?

Johan. Les Norns sont les trois déesses du destin dans la mythologie scandinave. Le destin est donc le principal thème tout au long de l’album. Ce n’est pas un concept mais un thème qui se retrouve dans la plupart des paroles, d’une manière ou d’une autre. C’est un sujet très intéressant et surtout, comme tu l’as souligné tout à l’heure, parce que les Vikings étaient très superstitieux. Ils croyaient au Destin, que leurs vies étaient prédestinées. Ils n’avaient qu’un temps défini à vivre et quand il était l’heure de mourir, c’était l’heure de mourir. C’est pourquoi ils étaient si braves ; ils ne craignaient pas la mort. Mais il y a bien d’autres aspects du destin qui sont abordés, comme dans le morceau intitulé « Fate of Norns ». Les gens qui vous sont proches peuvent mourir et dans ce cas précis, il s’agit d’un fils. J’essaie d’aborder ce thème sous des angles différents, avec l’accent mis sur les Vikings allant au combat. C’est ce qui convenait le mieux au concept musical.

MI. Vous avez souvent un thème récurrent dans chaque album. Pourquoi toujours cette ligne directrice ?

Johan. Je pense que cela nous vient naturellement. Nous n’y avons pas réfléchi avant, du moins en ce qui concerne « Versus the World » et cet album. Quand on commence un projet, l’idée est là tout le temps dans un coin de nos têtes et les morceaux finissent tous par avoir un rapport avec la fin du monde ou le destin. C’était encore plus prégnant sur « Versus the World ». Il fallait le faire, c’était maintenant ou jamais. On pourrait presque dire que le thème sous-jacent de l’album était la fin du groupe. Il y avait des réflexions beaucoup plus profondes sur cet album.
MI. C’était une sorte de métaphore du groupe et des difficultés auxquelles vous avez du faire face… Et pour « Fate of Norns », est-ce qu’il y a aussi une expérience personnelle derrière ?
Johan. Oui, il y aussi des expériences personnelles qui m’ont influencées, surtout pour la chanson titre. Quand je regarde en arrière, je me rends compte à quel point ma vie personnelle a pu influencer les paroles de mes chansons. Par exemple, dans « Versus the World », il y a une chanson qui s’appelle « Across the Riverbridge » qui parle en quelque sorte de mes grands-pères. L’un d’eux est décédé d’un cancer et l’autre a la maladie d’Alzheimer. C’est une chanson sur comment mourir avec dignité. J’avais besoin d’exprimer ça et je l’ai écrit de façon métaphorique. C’est une forme de thérapie mais il y a un autre aspect à cela, c’est que j’ai besoin d’écrire sur des sujets qui ont du sens pour moi.
MI. Est-ce aussi une sorte de message à votre public ? Un « carpe diem » ?
Johan. Oui, de bien des façons. Personnellement, je ne crois pas au destin. Je pense que chacun se crée son propre destin. On ne sait jamais ce qui nous attend au coin de la rue alors il faut profiter de chaque heure. Il ne faut jamais faire de projets à trop long terme. Oui, c’est tout à fait le terme « carpe diem ».
MI. Le titre de l’album correspond donc plus à une idée…
Johan. Bien sûr, c’est ce que souligne l’ensemble de l’album. Le destin des Norns nous attend tous. Nous savons tous que nous mourrons un jour, la seule chose que nous ne sachions pas c’est quand. Donc il faut tirer partie au maximum de ce que la vie a à nous offrir.

MI. Pourquoi avoir choisi « An Ancient Sign of Coming Storm » pour la promotion de l’album ?

Johan. C’était très difficile de choisir. Donc, on a sélectionné quatre morceaux et on les a envoyés au label. On ne voulait pas en discuter trop longtemps alors on les a laissés choisir et ils ont pris celui-là. Je pense que c’est un bon choix parce que c’est un morceau très classique d’Amon Amarth mais avec le nouveau thème de l’album. « Valkyries Ride » aurait aussi très bien convenu car elle représente quelque chose de nouveau pour le groupe puisqu’elle a été entièrement composée par Johan Söderberg. Il a apporté un nouvel angle à notre musique avec ses propres influences. Je crois que le label a hésité.
MI. Justement, je voulais aborder la nouvelle implication de Johan Söderberg…
Johan. Il a déjà participé à l’écriture mais il n’avait encore jamais écrit un morceau complet. Cette fois, il travaillait sur deux très bons morceaux et le résultat était génial pour le groupe. Cela a donné à Amon Amarth une certaine nouveauté même si notre musique nous ressemble toujours. Cela contribue beaucoup à notre développement et c’est une très bonne chose d’avoir deux personnes pour écrire les morceaux car cela nous permettra sûrement de travailler plus vite. Nous n’aurons peut-être pas à attendre très longtemps avant de sortir un nouvel album.

MI. Vous aviez toutes les chansons avant d’entrer en studio ou vous avez préféré faire des essais sur place, comme pour « Versus the World » ?

Johan. Je dirais même que nous souhaitions encore plus tester les morceaux en studio que pour le précédent album. On avait environ 90% du matériel écrit en entrant en studio et cela nous laissait beaucoup de possibilités pour améliorer nos chansons et trouver le bon son. Nous avons essayé d’être les plus créatifs possible. Ce n’était pas toujours facile et on devait parfois recommencer les enregistrements alors que nous n’avions que cinq semaines et un budget limité. Mais il n’est pas toujours bon de changer et la première idée était souvent la meilleure. La seule chose que nous ayons fait différemment, c’est que nous avons beaucoup plus pris en compte les idées de Bernö. On voulait qu’il produise ou au moins coproduise l’album. Nous l’avons vraiment inclus dans le processus créatif final. Cela a très bien marché. C’est aussi la première fois que nous écrivons entièrement une chanson en studio, « The Beheading of a King ».
MI. Elle est assez courte…
Johan. Oui et on comprend quand on sait qu’elle a été écrite en studio. Elle est très directe, courte et simple. Mais c’est une excellente chanson et elle apporte un équilibre à l’album. Comme ça, on a un peu de tout. Et puis, j’aime ce morceau ! [rires]

MI. Au début d’ « An Ancient Sign of Coming Storm » il y a des vers en Suédois. C’est une citation ?

Johan. Oui, c’est un extrait d’une saga nordique sur lequel j’ai basé les paroles de la chanson. C’est un vieux texte, du XIIe siècle je crois, mais l’histoire qu’il raconte est bien plus vieille. Il s’agit d’un roi qui prend la mer et qui fait face à deux autres rois, des rois des eaux. Et ceux-là, loin de l’accueillir, le reçoivent avec des flèches.
MI. Comment vous est venue cette idée ?
Johan. Au départ, l’idée était d’avoir un texte court au début de chaque morceau mais cela ne convenait que pour cette chanson. Normalement, on n’aurait donc pas du garder ce texte car il ne fait pas partie du morceau, c’était juste supposé être un prologue. Je l’ai quand même gardé parce que je l’aimais.

MI.Les deux derniers morceaux « Arson » et « Once Sealed in Blood » racontent la même histoire...

Johan. Oui, ils sont également basés sur une saga scandinave. J’avais trouvé le concept cool et j’ai voulu baser les paroles dessus. Mais je n’ai pas réussi à tout exprimer en une seule chanson alors j’ai décidé d’en écrire deux. Je trouve que cela rend bien.
MI. J’ai trouvé excellente l’idée d’opposer la chaleur du combat, de l’incendie de « Arson » à la froide vengeance de « Once Sealed in Blood » !
Johan. Je suis tout à fait d’accord avec toi ! [rires] Les paroles correspondent bien à la musique et c’est très important. Ainsi, les émotions sont bien rendues. C’est un point sur lequel nous avons beaucoup travaillé. Nous nous représentions les morceaux en images, presque en termes cinématographiques, comme si les scènes se déroulaient sous nos yeux. Bien sûr, cela prend beaucoup de temps mais cela valait vraiment le coup.
MI. Vous aimeriez sûrement tourner tout ça ?
Johan. Oui, si on pouvait, on tournerait sûrement une vidéo. On pourrait même presque faire un film en se basant sur « Fate of Norns ». Malheureusement, on est loin d’avoir le budget pour. Peut-être qu’un jour, quand on aura la stature de Metallica, on pourra le faire.

MI. Qui a eu l’idée du DVD ?

Johan. Oh, c’est loin d’être révolutionnaire. On voulait ajouter un petit quelque chose de spécial pour les fans et on avait ce concert enregistré. On en a parlé à Michael et il a trouvé que c’était une bonne idée. C’est aussi simple que ça. On a choisi Reykjavik parce que c’était un petit club, bourré de monde. Ca sent la sueur, c’est sale, il y a beaucoup de bruit, une toute petite scène et une salle exiguë. Bref, c’est Metal ! Et c’était tout simplement génial.
MI. Vous adorez être en tournée, n’est ce pas ?
Johan. Oui, c’est pour cela qu’on fait ce métier, pour jouer devant les gens. Il n’y a pas de réelle satisfaction à être devant un micro s’il n’y pas derrière un public qui répond à ta musique. C’est ce qu’il y a de meilleur et c’est ce que nous aimons faire.
MI. Donc, ce que tu apprécies avant tout ce n’est pas tant de partir en tournée entre potes que d’être en contact avec le public ?
Johan. Non. Je peux traîner avec eux quand je veux mais la rencontre avec le public, ce contact qui s’établit, cet échange de sentiments et d’émotions… c’est irremplaçable.
MI. Tu as dit un jour que Wacken était l’un des meilleurs moments de ta vie d’artiste. Comment c’était la semaine dernière ?
Johan. C’était dingue. On ne savait pas trop à quoi s’attendre parce qu’ils nous ont déplacés de 19h30 à 2h du mat’. On se demandait s’il y aurait encore des gens pour nous voir mais il y avait 20.000 personnes qui avaient vraiment l’air de tenir à nous voir sur scène, sinon ils seraient déjà rentrés. C’était un spectacle génial, le public était vraiment à fond dedans. Ils étaient fantastiques !
MI. Par contre, votre tournée scandinave a du être annulée. Tu peux nous dire pourquoi ?
Johan. C’est assez simple. Le problème, c’est que le marketing en Scandinavie n’est pas très important pour les tournées. Alors, quand on ouvre pour un autre groupe et qu’on a pas une très grande notoriété, comme nous, on ne gagne pas beaucoup d’argent. Le contrat qu’on nous proposait ne nous permettait pas de nous payer le voyage. Cet argent est mieux utilisé autrement. C’est dommage mais c’était impossible.
MI. Vous avez été tête d’affiche aux USA, en France… Comment se fait-il que vous ne soyez pas plus connus dans votre pays ?
Johan. Je ne sais pas [rires]. La scène Metal a rencontré de grosses difficultés ces deux ou trois dernières années. Il n’y a pas eu beaucoup de spectacles et de toute façon, il y avait peu de gens pour se déplacer. La situation commence cependant à s’améliorer et notre public grossit en Suède, en Norvège, en Finlande et au Danemark. C’est vrai que cela a pris du temps. Amon Amarth a vraiment besoin de se produire en Scandinavie pour se faire un marché là-bas. C’est assez difficile, tu sais.

MI. Le public parisien a enfin pu vous découvrir à La Locomotive l’an dernier. Comment était-ce ?

Johan. C’était super. On ne savait pas trop à quoi s’attendre parce que c’était la première fois qu’on se produisait à Paris. On avait entendu dire que les fans de Metal écoutaient moins notre style de musique, ici. Mais ce fut réellement un très bon spectacle et on a hâte d’y retourner en octobre 2004.
MI. Oui, vous partez en tournée avec Desillusion et Impious ?
Johan. Exactement. C’est une sorte de package Metal Blade, car nous sommes tous sous ce label. Pour nous, cela fait peu de différence tant que ce sont de bons groupes, ce qui est le cas. Nous n’avons jamais fait de tournée avec eux et c’est plutôt amusant de rencontrer de nouvelles têtes, découvrir de nouveaux groupes. Je n’avais jamais entendu Impious auparavant. J’ai été très impressionné en les écoutant. Cela sonne vraiment bien et j’ai hâte de les voir sur scène parce que je pense que cela doit être quelque chose de très spécial. Et j’ai entendu dire qu’ils étaient excellents en live.
MI. Vous êtes donc très contents chez Metal Blade ?
Johan. Tout ce sur quoi nous avons travaillé s’est très bien passé et ils nous ont totalement soutenus depuis le début. Ce que je respecte beaucoup chez eux, et c’est particulièrement vrai pour le bureau européen qui est celui avec lequel nous avons le plus de contacts, c’est que nous avons une ligne de communication très directe. Il n’y a pas de blabla. Michael nous dit toujours exactement ce qui se passe. Il dit lui même qu’il n’a pas de temps à perdre en bavardages : « dis ce que tu as à dire ou boucle-la ». Il nous a toujours soutenu et aidé de bien des façons ; il croit en ce que nous faisons. De la même façon, on leur dit quand il y a un problème et ils l’arrangent ou alors ils nous expliquent pourquoi les choses sont comme ça. C’est facile de travailler avec eux.

MI. C’est la deuxième fois que vous travaillez avec Bernö dans son studio de Malmo. C’était encore plus facile cette fois ?

Johan. A chaque fois que tu travailles avec quelqu’un, tu apprends à le connaître un peu mieux et c’est toujours plus facile. Mais Bernö est quelqu’un avec qui il est très facile de travailler en général. Il est très professionnel, il sait ce qu’il fait. Il met tout en œuvre pour tirer le meilleur de ce qu’il enregistre et il est très ouvert d’esprit, même si la musique que nous jouons lui est un peu étrangère. Il a énormément d’idées et des points de vue très intéressants sur la musique d’Amon Amarth.

MI. Vous avez dû beaucoup lutter pour arriver où vous êtes. Est-ce plus facile maintenant ?

Johan. Je pense que nous avons encore beaucoup à donner et nous pouvons encore nous améliorer. Nous avons beaucoup à offrir à la scène Metal et je pense donc que nous avons un long chemin à parcourir. Mais c’est vrai que nous nous sommes battus et que par moment on pense à tout ce qu’on a sacrifié pour en arriver là. C’est parfois dur. Mais je ne pense pas que nous ferions les choses différemment s’il fallait tout recommencer. Maintenant, nous gagnons en notoriété et en respect de la part de la scène Metal. Nous pouvons désormais jouer pour plus de gens et attirer plus de monde vers notre musique. Personne dans le groupe n’est déçu. Nous avons toujours suivi le même chemin et nous sommes restés fidèles à nous-mêmes. C’est pour cela que nous avons tant lutté : nous savions ce que le groupe devait devenir et nous avons tout fait et faisons toujours tout notre possible pour atteindre ce but, sans compromettre notre musique ou notre identité en tant que personne.

MI. Merci Johan, je te laisse le mot de la fin.

Johan. A tous les fans de Metal ici, en France : buvez du vin, de la bière, profitez de la vie ! Allez écouter l’album et à bientôt sur notre tournée.

A tous les fans de Metal, je dirais également « Carpe Diem », profitez du jour présent ! Et profitez-en pour acheter l’album « Fate of Norns » ainsi que vos places pour La Locomotive le 12 octobre 2004. Amon Amarth est de ces groupes qui vaut la peine d’être soutenu. En attendant, vous pouvez écouter le titre extrait de leur album avec un présentation personnalisée dans la M-I Radio.


Ajouté :  Vendredi 03 Septembre 2004
Intervieweur :  Kandra
Lien en relation:  Amon Amarth Website
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